Le Togo a officiellement lancé le mardi 3 juin 2025 à Lomé, la 4ème édition de la Quinzaine de l’Environnement et du Développement Durable (QEDD).
Le coup d’envoi des activités a été donné par Aoufoh Koffi Dimizu, Secrétaire général du ministère de l’environnement, marquant le début de deux semaines d’activités intenses dédiées à la protection de l’environnement à travers tout le pays.
Organisée par l’Agence nationale de gestion de l’environnement (ANGE) avec l’appui financier de l’Union européenne, la QEDD 2025 est placée sous le thème : « Pollutions et nuisances : quelles solutions pour y faire face ? ».
Cette édition de la QEDD, qui se tiendra jusqu’au 17 juin, vise à sensibiliser le public sur les effets dévastateurs de la pollution de l’air, de l’eau et du sol.
L’objectif est d’encourager des comportements écoresponsables et de renforcer la mobilisation collective face aux enjeux environnementaux majeurs que sont le changement climatique et la perte de la biodiversité.
Durant cette quinzaine, plusieurs activités seront organisées à l’échelle nationale : des conférences-débats, des expositions, des campagnes de sensibilisation, des opérations de reboisement.
Dans son intervention, le Secrétaire général du ministère de l’environnement a souligné l’importance d’une mobilisation nationale pour faire face à la triple crise environnementale : les pollutions, les changements climatiques et l’érosion de la biodiversité.
Pour rappel, la quinzaine de l’environnement initiée depuis 2016, est devenue un rendez-vous annuel essentiel au Togo. Elle contribue activement à l’instauration d’une culture environnementale citoyenne, en offrant un cadre inclusif et participatif. Cet événement permet à toutes les parties prenantes, institutions publiques, secteur privé et société civile de se réunir, d’échanger et de réfléchir ensemble aux défis environnementaux, tout en élaborant des solutions durables pour un avenir plus vert.
La 3è édition de cette foire avait retenu pour thème : « Eau propre, air pur, sol et forêt préservés : notre responsabilité collective ». FIN
Chrystelle MENSAH