Plusieurs acteurs ont bouclé ce vendredi à Lomé, trois jours de rencontre sur les bonnes pratiques et sur les opportunités pour l’amélioration des mesures de Gestion intégrée des risques d’inondations et de la sécheresse (GIRIS) et d’Adaptation au changement climatique (ACC) dans le Bassin de la Volta (BV).
C’est une initiative du ministère de l’eau et de l’hydraulique villageoise, et qui s’inscrit dans le cadre le cadre du projet « Volta Flood and Drought Management » (VFDM).
Objectif de cette rencontre : renforcer la résilience au changement climatique à travers la valorisation des bonnes pratiques, des opportunités de GIRIS ainsi que d’ACC dans le Bassin de la Volta.
A l’ouverture des travaux, Affo Boni Adjama (directeur de cabinet du ministère en charge de l’eau) a surtout mis l’accent les effets néfastes des changements climatiques qui s’extériorisent par la désertification.
Ce dernier a salué l’opportunité du projet VFDM « qui vient à point nommé pour trouver des solutions aux problèmes des inondations et de la sécheresse ».
Le projet VFDM – financé par le Fonds d’adaptation (FA) – est mis en œuvre par l’Organisation météorologique mondiale (OMM), l’Autorité du Bassin de la Volta (ABV), le Global water partnership west Africa (GWP-AO), et les institutions nationales compétentes des Etats membres de l’ABV.
Il a pour objectif d’aider les pays du bassin de la Volta (Mali, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Ghana et le Togo) à mettre en œuvre des actions coordonnées et conjointes pour améliorer leur Système d’alerte précoce (SAP) et leurs plans de gestion.
Agroclimatique/Officiel
