« La contribution du secteur privé sera critique dans le cadre de la lutte contre le changement climatique (…) parce que d’ici à 2030, les besoins en investissements pour l’atténuation du changement climatique dans les économies émergentes et en développement sont estimés à environ à 2 000 milliards de dollars par an« , a affirmé le président togolais Faure Gnassingbé ce mercredi à l’ouverture de la 3ème édition du Sommet de l’industrie africaine (AFIS 2023).
« Et 80 % de ces besoins en investissements devront être financés par le secteur privé« , a-t-il souligné.
Plus de 1000 leaders financiers, décideurs politiques et régulateurs sont réunis à Lomé pour relever des défis majeurs et créer une industrie financière de classe mondiale.
Des échanges approfondis auront lieu autour d’une multitude de thèmes, tels que la gestion des risques liés aux fluctuations monétaires, la tokenisation des actifs africains, les réformes économiques mondiales, et les implications de l’intelligence artificielle sur le secteur financier.
Selon le chef de l’Etat togolais, « le dynamisme du secteur est extraordinaire depuis la pandémie ».
« Entre 2021 et 2023, le nombre de FinTechs africaines a cru de 17%, et on en compte aujourd’hui plus de 600 », a précisé Faure Gnassingbé.
Notons que ce sommet sur l’industrie financière africaine se tient pour la deuxième année consécutive à Lomé.
Plus de 1000 leaders financiers, décideurs politiques et régulateurs sont réunis à Lomé pour relever des défis majeurs et créer une industrie financière de classe mondiale.
Des échanges approfondis ont lieu autour d’une multitude de thèmes, tels que la gestion des risques liés aux fluctuations monétaires, la tokenisation des actifs africains, les réformes économiques mondiales, et les implications de l’intelligence artificielle sur le secteur financier.
Rappelons que le changement climatique désigne les transformations à long terme du climat de la Terre qui réchauffent l’atmosphère, les océans et les terres.
Le changement climatique affecte l’équilibre des écosystèmes qui soutiennent la vie et la biodiversité, et a un impact sur la santé.
Il provoque également des phénomènes météorologiques plus extrêmes, tels que des ouragans, des inondations, des vagues de chaleur et des sécheresses plus intenses et/ou plus fréquentes, et entraîne une élévation du niveau de la mer et une érosion côtière en raison du réchauffement des océans, de la fonte des glaciers et de la disparition des nappes glaciaires. FIN
Junior AUREL